Comme vous le savez, je suis en ce moment chez mes parents, à la recherche d’un boulot, en train d’essayer d’y voir un peu clair, de décider ce que je veux faire de ma vie, comment je l’envisage, ce qui est le plus important pour moi (mon mec ou ma carrière ? aha, non je rigole le dilemme n’est pas aussi tranché), tout ça tout ça.
Dans la vie, on n’est pas toujours en mouvement, il y a aussi des moments où on se pose. Par nécessité, obligation ou choix, peu importe. Le plus important selon moi c’est de profiter de ces périodes de creux pour rebondir, réfléchir à de nouveaux projets, apprendre de nouvelles choses… Avoir quelques mois de flottement n’est pas un mal, c’est d’ailleurs souvent nécessaire pour se remettre sur la voie du succès !
Bref, je ne sais pas pourquoi je commence cet article par un discours d’encouragement coaching life ou je ne sais quoi. Peut-être simplement parce que j’en ai besoin pour m’aider moi-même
En tout cas voilà, je suis dans un de ces moments de flottement. Ca n’a pas été agréable au début (comprendre : grosse déprime) mais je commence à sortir de cette période et à comprendre enfin ce que je VEUX. C’est super positif je trouve et ça redonne le smile d’avoir des projets et un but à atteindre.
Je profite aussi de cette période pour apprendre une nouvelle langue. Cela fait des mois et des mois que le Californien me tanne pour que je me remette à l’espagnol mais j’ai toujours eu la flemme… J’en ai fait au collège, au lycée, et même 3 semestres pendant mes études supérieures mais j’étais franchement nulle et j’ai presque du tout reprendre à zéro (c’est pour ça que je dis apprendre une nouvelle langue même si j’avoue que j’ai quand même quelques bases). Il faut dire que les langues et moi, ce n’est pas une histoire d’amour.
Déjà je blâme le système éducatif français pour nous enseigner les langues d’une façon si peu motivante, et puis tant qu’on y est je blâme aussi l’industrie audiovisuelle qui a la très mauvaise habitude de nous doubler tous nos films et séries, que ça soit à la télé ou au cinéma, avec des vieilles voix françaises toutes pourries (on ne se rend pas compte à quel point elles sont pourries jusqu’à ce qu’on passe à la VO !). Il y a des pays où rien n’est traduit et où on se contente de mettre des sous-titres et, ô miracle, ils y sont bien meilleurs que nous en langue !
L’anglais je l’ai appris devant le fait accompli, quand je suis partie en Inde et qu’il a bien fallu que je communique, au fil des voyages et des rencontres. J’ai pris confiance en moi et voilà, après des années et des années d’apprentissage, je parle enfin anglais couramment. Mais le moins qu’on puisse dire, c’est que ce n’est PAS grâce à l’école.
Donc mon espagnol, là, il est au niveau de mon anglais avant que je parte en Inde, c’est-à-dire NUL. Pas facile de se (re)mettre à l’apprentissage d’une langue quand on l’a complètement négligée pendant tant d’années ! Cependant, aujourd’hui, je suis étonnée de la facilité que j’ai et de la motivation dont je fais preuve pour apprendre l’espagnol. Il y a plusieurs raisons qui font que je trouve cela plus facile :
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La maturité !
Longtemps, je n’ai pas vu l’utilité de l’apprentissage des langues étrangères mais les voyages et les expatriations m’ont ouvert les yeux. J’ai conscience qu’elles sont la clé qui m’ouvrira le monde et que si je ne veux pas rester en France, elles me sont indispensables (ouais, c’est beau. En fait, rien de mieux que des dizaines de soirées où on ne peut pas ouvrir la bouche car son anglais est trop pourri pour fournir ce déclic !).
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Avoir un but
J’ai un projet, et pour pouvoir le réaliser il va falloir que je parle espagnol couramment un de ces quatre. Cela passe forcément par réapprendre toutes les bases et passer des heures devant mon ordi à répéter des mots bizarres. Je sais que j’aurai le temps de m’améliorer quand je serai sur place, mais je sais aussi que ces progrès seront d’autant plus fulgurants que j’aurais déjà travaillé en amont.
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Le fait de parler anglais et français
Ce n’est pas un secret, plus on parle de langues et plus il est facile d’en apprendre de nouvelles. Le cerveau s’habitue à la gymnastique linguistique, et surtout cela permet de trouver plus de points communs entre les langues, d’avoir plus de repères et de se créer davantage de moyens mémo techniques. Par exemple, l’espagnol ressemble beaucoup au français, mais il y a aussi des mots qui me font penser à leur traduction anglaise.
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Les supports technologiques (viva internet !)
Il existe plein de sites internet qui permettent de faciliter cet apprentissage. Adios les livres et les classiques exercices de grammaire ! Grâce à internet, l’apprentissage d’une langue est plus intuitif, plus rigolo et plus adapté à notre niveau et à notre capacité mémorielle.
Je vous conseille deux sites, testés et approuvé par mes soins :
- memrise.com, qui travaille avant tout sur la mémoire long terme. C’est très bien pour les langues, le site propose des modules vocabulaire, conjugaison et grammaire. Ce que j’aime particulièrement c’est que le site retient vos erreurs et accentue particulièrement dessus lors de vos séances de révision. A l’inverse, les mots que vous avez retenus sans problème resortent à une fréquence moindre.
- italki.com propose des cours avec des professeurs du monde entier et à des prix très raisonnables car cela se fait sur skype. Vous pouvez choisir un prof qui propose un tarif qui vous correspond et qui vient du pays où vous désirez vous rendre pour vous habituer à l’accent et aux expressions locales par exemple. Le site propose des séances de conversation ou des vraies classes avec exercices, devoirs et compagnie.
Si vous avez vos habitudes sur d’autres sites n’hésitez pas à les mentionner dans les commentaires !
C’est agréable de se rendre compte qu’apprendre une nouvelle langue n’est pas forcément difficile : Il suffit de trouver un peu de motivation (quoi de mieux qu’un beau projet en perspective pour ça ?) et d’avoir les outils adéquats.
Allez courage Joana! Je suis d accord avec toi, plus on apprend de langues et plus c’est facile.
Essaie de rencontrer des jeunes espagnols sur Annecy, c est nettement plus plaisant de pratiquer ….en live plutot que devant son ordi !
Merci Flo
Pas sûre qu’il y ait beaucoup d’espagnols à Annecy…
Il tombe bien cet article, je suis justement en train d’essayer désespérément de me mettre à l’espagnol !
J’ai essayé l’appli duolingo pour ma part. Pas mal quand on est complètement débutant, mais pas très fun sinon… Je vais de ce pas essayer tes sites !
Ouais duolingo je suis pas fan non plus, c’est pas très stimulant je trouve ! Par contre ça fait plusieurs semaines que j’utilise memrise et je ne m’en lasse pas, je pense que c’est un bon outil. Tu me diras ce que tu en penses si tu essayes !
Moi non plus, je ne suis pas sorti du système éducatif avec un bon niveau en langues. J’étais nul en anglais. J’arrivais à peu près à lire, mais je ne pouvais aligner deux mots, manque de pratique.


Mais je ne sais pas si le système éducatif est la seule cause de ma médiocrité d’alors. J’ai souvenir, surtout en école d’ingé, de cours où l’on devait participer, des trucs au fond assez sympa pour que nous parlions anglais. Sauf que moi, je ne participais jamais, pas très intéressé et réalisant bien que mon piètre niveau de conversation en anglais allait me mener droit à la catastrophe.
Quand je croise des gamins en voyage qui eux non plus n’ont pas forcément un très bon système éducatif, mais qui testent les 5 mots d’anglais qu’ils connaissent, je me dis qu’il y a sans doute un petit problème culturel, une fierté mal placée qui nous empêche de nous lancer vers l’échec, mais l’échec qui à force de nous lancer finira pas être un succès. D’ailleurs, durant mes premières semaines en Irlande, je me lançais durant les fins de soirée au pub, si tu vois ce que je veux dire
Et comme tu le dis, un manque de maturité également, mais ça va, j’ai vieilli depuis
Par contre, ça reste un exercice assez difficile pour moi, même si la motivation est là. Mais quel plaisir quand tu apprends une nouvelle langue et que ça commence à fonctionner sur place comme ce fut le cas avec le Russe au Tadjikistan.
Par contre, l’espagnol, mais aussi il faudrait que je m’y mette !! À suivre …
Dernier article de Laurent : Le Tadjikistan, premières impressions d’un voyage au Kiffistan
Je pense que ce blocage dont on fait preuve pour s’exprimer oralement vient tout droit de notre système scolaire
Prendre la parole n’est pas suffisamment valorisé à l’école et les initiatives personnelles non plus. J’ai constaté ça aux Etats-Unis où les élèves sont bien plus encouragés à exprimer leurs opinions (même si c’est sûr des trucs tout bête !) et à se « distinguer » de leurs camarades. Le système éducatif aux USA repose beaucoup plus sur l’encouragement permanent des élèves, ce qui fait qu’ils n’ont pas ce manque de confiance qui nous caractérise à l’oral. Enfin, ce n’est que mon opinion évidemment…
Comme tu dis, c’est un vrai plaisir quand on constate que tous ces efforts commencent à payer ! Ca m’a fait le même effet quand j’ai commencé à devoir rédiger des mails en espagnol et que j’arrivais à écrire des phrases sans avoir à tricher avec google traduction, chose qui aurait été impossible il y a quelques semaines !
Quand on proposera aux élèves de voir des films en V.O au lieu de leur faire traduire des textes littéraires ou sans intérêt ce sera un gros progrès ! Ceux qui aiment la chanson peuvent aussi bcp progresser par ce biais (cf ta cousine qui connaissait par coeur toutes les chansons anglaises à la mode).Rien ne vaut,bien sûr,l’immersion complète:voyages,échanges.
Je suis bien d’accord avec toi : si les films et séries étaient diffusés qu’en VO à la TV et au cinéma, nous serions sans doute meilleurs en langues. Perso, je ne peux plus aujourd’hui regarder une série ou un film en VF ; cela sonne trop faux, puis cela me permet réellement de progresser en anglais et de mieux apréhender les différents accents.
Dernier article de Tony – Ou&Quand.net : Trek Chiang Maï : Une alternative aux treks ultras touristiques
Merci pour les sites je ne connaissais ni l’un ni l’autre et Memsi va me plaire…même en vivant à l’étranger, il y a toujours à se perfectionner, vocabulaire à apprendre (surtout quand on parle français à la maison). Pour ma part j’ai aussi la méthode Assimil perfectionnement qui doit être bien si on s’y met quotidiennement (ce qui n’est pas mon cas ahah). Bonne chance pour la suite (ps : je suis maman d’un petit Maël pour répondre à ta question précédente ! dsl pour le délai )
Je connais Assimil pour débuter dans une langue mais pas pour se perfectionner. J’aime bien ces bouquins mais contrairement aux sites internet ce n’est pas interactif donc plus difficile de s’y mettre régulièrement je trouve.
Et félicitations pour ton petit Maël alors !
Bouh, moi j’aime bien ton entrée en matière « coaching life »…. pour les langues, largement d’accord en France, le système éducatif français les massacre purement et simplement, et fabrique des… allez, disons-le, burnes en langues! On s’est pris plusieurs fois la honte en voyage, en croisant d’autres gens de toutes nationalités qui parlaient mille fois mieux que nous….fffff…. Julien s’en sort un peu mieux, puisqu’il a appris sur le tas, comme toi, lors de longs séjours: y’a rien de mieux! Merci pour les liens, je vais y jeter un oeil! Maintenant qu’on a la tête dans les couches, on est un peu moins aptes à partir en longs séjours, hihi!!!
Whaaat, dans les couches? Dans les couches de bébé??? Bon si c’est le cas, c’est plus excitant qu’un long séjour dans n’importe quel pays du monde de toute façon
Oui, oui, celles d’un petit bonhomme qui a 6 mois aujourd’hui d’ailleurs :)) …. Mais! Finalement, on apprend une nouvelle langue aussi, non, en ce moment? Les arreuuh, tout ça, ça compte??!!!
Aaah je savais pas, félicitations ! Et oui, le décodage bébé ça compte définitivement comme une nouvelle langue, voire un nouveau monde, à apprendre ! Bonne continuation
J’aimerais bien en dire autant que toi Joana, mais j’ai bien du mal avec les langues. Mon anglais est assez « correct » mais pas plus et mon espagnol très de base. Et pourtant…ma belle famille est colombienne. Des fois j’enrage quand je voyage et que je me rends compte que tout le monde parlent de manière si fluente en anglais alors que je cherche mes mots et que je manque des bouts de conversations. J’ai toujours l’impression d’être celle qui tire un peu de la patte. Et pourtant.. ca fait des années que je voyage. Certes je m’améliore vraiment beaucoup, mais quand je regarde la facilité des gens à apprendre des fois, je trouve ca vraiment enrageant. Mais bon, comme tu dis, peut-être qu’à force d’en apprendre on finit par les apprendre plus facilement par la suite. Mais bon, c’est sur que quand on regarde depuis le début tout le chemin parcouru on peut s’encourager, mais me semble que c’est long hehe.
c’est tellement une belle langue et ca l’ouvre la porte à presque toute l’amérique du sud et centrale. Pas mal pratique disons 

Mais bonne chance avec ton espagnol
Dernier article de Rachel @ Voyager avec Découverte Monde : Que faire au Laos et visiter : Mes 10 incontournables
Salut Rachel, t’inquiète pas, je pense que sans une immersion complète de plusieurs mois, c’est très très dur d’obtenir un super niveau en langue. Pour te dire, c’est seulement après avoir vécu 1 an aux Etats-Unis que je suis devenue « vraiment » (parce que malgré tout ce n’est toujours pas parfait du tout !!) bonne en anglais, alors que j’avais déjà vécu 1 an et demi en Inde ET suivi 2 ans de master enseigné en anglais !
A noter aussi que même si c’est injuste on est tous inégaux face à l’apprentissage des langues… Il y en a qui ont une oreille incroyable et qui captent directement l’accent, par exemple, tandis que d’autres gardent leur accent français toute leur vie (je fais plutôt partie de la 2nd catégorie).
Bref, pour progresser il faut de la patience et essayer de se « déconnecter » de la langue qu’on souhaite parler le moins possible : lire des bouquins, écouter de la musique, regarder des films ou même faire des sessions skypes, tout ça en VO !
Bon courage !
Humm ouais ce fut tout un processus pour ta part également Joana. Bon je désespère pas hehe. D’ici ma retraite, je devrais être minimalement bilingue. Je crois que je fais également partie de la 2ème catégorie. Quoiqu’en espagnol ma prononciation est pas mal du tout. Mais bon c’est plus les connaissances que j’ai moins. L’anglais je n’ai jamais aimé, c’est peut-être pour cela que ca me prend plus de temps qu’une autre personne par exemple. Mais j’y arriverai
Merci de tes encouragements.
Dernier article de Rachel @ Voyager avec Découverte Monde : Visiter la Colombie : Mon itinéraire et mes incontournables
Les voyages sont toujours une source intarissable de motivation pour apprendre la langue, à condition d’oser se lancer ! Les quelques fois où j’ai voyagé en Europe (notamment mon année en Allemagne), j’ai remarqué que nous sommes des aimants envers notre nationalité – quelle qu’elle soit. Je ne sais pas si ça te l’a fait, mais j’avais l’impression de croiser régulièrement (trop?) des français, et du coup, cette petite tendance à avoir un cercle d’amis ou de connaissances françaises… dans lequel il ne faut pas s’enfermer ! Une amie est partie en Erasmus en Irelande et a passé la majeure partie de son temps avec des français en dehors des cours, et elle a regretté au retour d’avoir si peu progressé à cause de ça…
Concernant le système éducatif… Vous avez déjà tout dit pour le collège-lycée, et malheureusement, la fac ne vaut pas mieux… Les diplômés de licence de LEA sont censés avoir un niveau C1 pour les deux langues étudiés, et ont rarement un bon B2 écrit ET oral.
Je vais tester les sites que tu as noté, je ne les connais pas. Dans le genre sympa, un mnimum interactif, mais payant, il y a aussi le site Babbel. L’outil de révision du vocabulaire (et on en apprend beaucoup !) reste dispo sur ton compte même après la fin de ton abonnement. J’avais pu le tester pour l’apprentissage de l’italien, grâce à un coupon groupon. Mais encore une fois, il faut être régulier dans la pratique !
Bon courage pour ton espagnol, et bon repos en france
Salut Emma, totalement d’accord avec toi sur le fait de rester entre français à l’étranger : J’en ai moi-même fait l’expérience lors de mon année d’étude en Inde ! Je pense que cela a un côté rassurant, inévitable aussi (forcément si on a des facilités à communiquer, ça rapproche !) et puis n’oublions pas que les français sont très représentés à l’étranger donc on en rencontre beaucoup ! Cela dit cette tendance à « s’enfermer » dans un cercle de français est une erreur que je n’ai plus jamais refaite, une fois qu’on en a conscience c’est plus facile de l’éviter !
Je vais jeter un oeil au site Babel, je ne connais pas !
Petite info: au Japon beaucoup de films ou séries étrangères ne sont pas doublées mais juste sous-titrées et pourtant ils sont bien plus nul que nous en langues étrangères ;-). Pas facile d’apprendre des langues étrangères mais fun quand on y arrive.
Dernier article de Tunimaal : Minna no Nihongo en français – le livre d’apprentissage du japonais
Ah oui ? Pourquoi les japonais sont-ils nuls en langue ? On pourrait penser que puisqu’ils vivent sur une petite ile et que le language leur est vraiment propre, ils sont obligés de parler d’autres langues…
Ils sont nuls justement parce qu’ils sont sur une île, et qu’ils sont restés fermés sur eux mêmes pendant plus de 3 siècles, donc au final ils n’avaient pas besoin de langues étrangères jusqu’à la fin de la 2nde guerre mondiale (courte ouverture sur le monde de la fin du 19ème au début de la 2nde guerre mondiale). Et même aujourd’hui, pour beaucoup d’entre eux, ce n’est pas utile, d’après ce qu’ils pensent.
Enfin, il y a le facteur « son » puisqu’en langue japonaise il n’y à quelques sons, et que beaucoup ne sont pas disponible pour apprendre aisément les autres langues.
Dernier article de tunimaal : Bonjour en japonais, mais aussi bonsoir et bonne nuit
J’étais dans la même position que toi avant de partir vivre en Argentine.
Mon espagnol était au niveau 0 mais ma motivation explosait le baromètre!
J’ai joué avec quelques applis sur mon téléphone aussi. Je me mettais sur les bouquins d’apprentissage en fin de journée après le travail (même si c’est vraiment pas rigolo…).
Mais moi ce qui m’a fait progressé à mort, c’est la musique!
C’est tout bête mais j’écoutes beaucoup de salsa/bachata, donc à force d’entendre les paroles, j’intégrais de nouveaux mots.
Et maintenant je peux te parler d’amour et de relations sentimentales compliquée en espagnol sans problème…
Ah oui, pas bête la musique ! J’avoue que je n’écoute pas du tout de musique espagnol mais peut-être devrais-je m’y mettre. En fait je pense qu’avoir un objectif comme celui d’aller vivre dans un pays hispanophone motive à 2000% ! Et ensuite évidemment une fois sur place on n’a pas d’autre choix que de progresser rapidement…